Malgré une baisse des « propos haineux » pour la 2ème année consécutive, la République renforce son arsenal répressif contre ceux qui oseraient mettre en doute la réalité et le bien fondé du vivre ensemble… Ce seront désormais des délinquants qui feront de la modération en ligne, ou bien des enquêteurs et des magistrats spécialement formés pour traquer et punir les patriotes un peu trop expressif…
Ce deuxième plan, qui couvre la période 2018-2020, fait suite à un premier dispositif lancé dans un contexte de flambée des actes antisémites et antimusulmans après les attentats de 2015. Souhaitant afficher sa mobilisation sur ce dossier, le Premier ministre était flanqué de huit membres de son gouvernement lundi, au Musée de l’histoire de l’immigration à Paris.
L’exécutif veut également « permettre l’enquête sous pseudonyme »: en s’invitant dans des espaces de discussion en ligne, les cyberenquêteurs pourront plus facilement identifier les auteurs de propos haineux. Cette mesure sera incluse dans le projet de loi sur la justice qui doit être présenté en Conseil des ministres le 18 avril.
– Moyens « sanctuarisés » –
La lutte contre la cyberhaine ayant besoin de moyens supplémentaires, le gouvernement prévoit de renforcer les effectifs de la plateforme de signalement de contenus illicites PHAROS. De même, des personnes condamnées à des travaux d’intérêt général pourraient être affectées, dans des associations, à des tâches de modération et de signalement de propos haineux.
Pour mieux prendre en compte les victimes, l’Etat va expérimenter dès septembre la création d’un réseau d’enquêteurs et de magistrats spécifiquement formés à la lutte contre la haine.
L’Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ) étudiera la possibilité de permettre à un plaignant de qualifier lui-même le mobile raciste ou antisémite de son agression, comme c’est le cas au Royaume-Uni.
Dans son volet éducatif, le plan prévoit la création d’une « équipe nationale d’intervention rapide » chargée « d’épauler les enseignants » confrontés à des situations conflictuelles. Plus généralement, le gouvernement promet de renforcer la formation de « l’ensemble des personnels » de l’éducation.
Source : Capital
si ca ce n’est pas de la dictature alors la je ni comprend plus rien
La République , laïque, athée, va proclamer
que la Licra est le Bien , la Vérité, la Vie
que quiconque ne l’ adore pas , front contre terre,
est une bête immonde , fasciste, raciste, xénophobe, qui doit être expédiée au Goulag
pour éventuelle rééducation.
J’espère que ça marchera dans les deux sens!
« l’Etat va expérimenter dès septembre la création d’un réseau d’enquêteurs et de magistrats spécifiquement formés à la lutte contre la haine. »
des fonctionnaires de la République maçonnique pour nous enseigner notre devoir d’ Amour absolu du Crif , laïc et obligatoire, – schlague à la main- ,
et pour envoyer au bûcher les méchants possédés par l’ esprit infernal de haine , un esprit situé à l ‘extrême droite .
Pourquoi alors les étrangers en France n’acceptent-ils pas les Français en Afrique par exemple, ils sont devenus indépendants, les Européens veulent aussi l’être, cela ne regarde pas l’Etat, c’est la liberté de nos enfants que nous devons défendre, un devoir, et non les envahisseurs qui ont une patrie, les Français sauront reprendre la leur., cela ne regarde qu’eux et personne d’autre.
Pas de Soviet chez nous, l’Holodomor c’est la Mort, l’atteinte à notre liberté de Français est un nouvel Holodomor.
Pas de » çà «
ça rappelle les camps de concentration nazis où c’étaient les détenus de droit communs qui servaient d’auxiliaire de police (les fameux kapos).
les « décideurs » vont réhabiliter la sinistre Stasi et le NKVD afin d’obéir aux ordres de qui nous savons.Les dénonciations et les listes de gens à abattre vont se multiplier comme au bon vieux temps des bolcheviks.la criminalisation de la pensée va se généraliser sanctionnnée par la mort civile.Cette dictature aura encore le culot d’afficher au fronton de ses édifices publics « liberté,égalité ».
« pas de liberté pour les ennemis de la Liberté »
(Saint Just)
« pas de liberté pour les ennemis de la Licra »
(Macron)
Nous ne céderons jamais à toute entrave bloquant la liberté d’expression, fusse t-elle imposée par « le dit Gouvernement »