Pologne : Le gouvernement va organiser un Nuremberg du communisme

C’est une nouvelle phase dans le processus d’émancipation du peuple
polonais après plus d’un demi-siècle de terreur communiste. Le gouvernement
a annoncé que les crimes commis par le régime marxiste polonais, jusqu’à
présent couverts par une loi d’amnistie, seront bientôt passibles de
poursuite.

Le ministre de la justice Zbigniew Ziobro a saisi le tribunal
constitutionnel pour faire abroger la loi sur la prescription des crimes
commis sous le système communiste, instaurée en 1997 par la gauche composée
d’éléments du régime marxiste recyclés.

Le code pénal polonais prévoit en effet « des garanties d’impunité » aux
fonctionnaires du régime communiste en fonctions entre 1944 et 1989. Sont
visés des crimes passibles de cinq ans de prison comme la torture ou autre
forme de traitement cruel, inhumain ou dégradant, infligé
intentionnellement par des fonctionnaires de la police politique à l’égard
de militants patriotes opposants à la tyrannie rouge.

Selon M. Ziobro, qui est aussi procureur général, les auteurs de ces crimes
ont bénéficié « d’omissions volontaires de poursuites par la justice ».

La Pologne poursuit donc son oeuvre de décommunisation et ouvre la voie à
un Nuremberg du communisme. Une première en Europe qui devrait inspirer
toutes les victimes de la barbarie marxiste, notamment en Bretagne où elle
fit de nombreuses victimes civiles en 1943, 1944 et 1945 à la faveur de
bandes terroristes aux ordres de Moscou.

De nombreux membres de la fonction publique française ainsi que les médias
d’état, largement influencés par l’idéologie marxiste depuis plus d’un
siècle, continuent en Bretagne de célébrer les figures de ce mouvement
totalitaire.