De notre correspondant en Espagne :
« Dans une enceinte adjointe au cimetière municipal d’Aravaca, reposaient, depuis plus de 60 ans des patriotes, religieux, monarchistes, ou phalangistes, assassinés par les forces républicaines. Parmi eux se trouvent , entre autres, Ramiro de Maetzu, l’un des intellectuels les plus éminents du début du xxème siècle, Ramiro Ledesma Ramos, fondateur du national-syndicalisme et les deux frères aînés de Ramon Serrano Suner (ancien chef de la Phalange), José et Fernando.
Dans la nuit du 22 au 23 octobre, (toujours la nuit, comme le font les rats) le cimetière de nos martyrs d’Aravaca a été profané par des vandales d’extrême gauche. Les dommages sont, a première vue, condidérables, et nous craignons qu’ils le soient plus encore que nous le pensons après une estimation réelle.
Ce n’est certes pas la première fois, et les autorités sont parfaitement conscientes que lorsqu’approche la fin du mois d’octobre, les familles viennent visiter leurs tombes. »
La Phalange communique :
« La Phalange tient à souligner que, de plus, les profanations et les destructions dans le Cimetière des Martyrs d’Aravaca ont commencé à partir du moment où le parti socialiste espagnol a présenté sa « Loi de Mémoire Historique » et que depuis lors elles se sont répétées en s’aggravant. Le parti socialiste espagnol est par conséquent tenu responsable, pour avoir créé un bouillon de culture qui favorise ces actions.