« Instauré au 1er janvier 2018, le forfait post-stationnement fait recette. Dans Paris, où les missions de contrôle du stationnement et de verbalisation ont été confiées à deux sociétés privées (Indigo et Urbis Park), le nombre de ces « PV » qui ont changé de nom semble croître fortement. Dans la capitale, sillonnant les rues à pied ou au volant de leurs Renault Zoé équipées de caméras spécifiques, les agents de ces deux entreprises peuvent effectuer jusqu’à 50.000 contrôles par jour.
Selon la radio RTL, ce sont justement 50.000 contraventions qui ont été dressés par ces agents depuis le 1er janvier 2018. Pour rappel, dans Paris, oublier de payer son stationnement ou dépasser la durée autorisée peut coûter cher. Le territoire de la capitale a été découpé en deux zones. Dans la première le montant du forfait post-stationnement a été fixé à 50 euros. Dans la seconde à 35 euros. Jusqu’au 31 décembre 2017, les traditionnelles contraventions de stationnement revenaient à 17 euros pour l’automobiliste pris en défaut.
RTL précise que « le nombre de paiements spontanés s’est envolé de 40% dès la première semaine par rapport à la même période l’année dernière ». En effet, si les automobilistes règlent leur dû dans les quatre jours après réception du FPS, son montant est minoré (35 au lieu de 50 euros ou 25 au lieu de 35 euros). En outre, moins de 1% des automobilistes auraient contesté leur contravention. »
Source BFM
On vous tire dans le dos, comment pouvez vous vous défendre ????
Ils n’ont rien à prouver, il leur suffit de relever un N° de plaque et c’est bon, vous n’avez aucun moyen de contester.
Idem pour les radars…
Mais quand on sait comment les parisiens votent, on se dit que nce n’est pas encore assez.
Et arrive bientôt, hélas pour tous, et surtout les bobos parisiens, la tarification du stationnement des deux-roues sur trottoirs, en majorité des scooters ! La France n’est plus ce qu’elle était, et il faudrait ôter le mot « liberté » de notre devise… Quant aux parisiens, nombreux savaient qui ils élisaient, ils en sont donc totalement responsables… De plus, je pense que le pire est à venir. De nos jours, la guérilla urbaine ne se fait plus à l’aide d’armes conventionnelles, mais par le truchement de voitures « cafteuses » conduites par des entreprises privées. O tempora, ô mores… A propos, que dit la CNIL de ces façons de procéder ?…